20 janvier 2012 - GSK renforce sa stratégie d'accords de partenariats et de collaborations afin d'accroître
le nombre de projets de recherche en cours dans différents domaines thérapeutiques.
Aux côtés du Fonds National d’Amorçage, d’acteurs institutionnels de référence, et
d’autres partenaires privés, GSK s’engage sur le long terme aux côtés d’Inserm Transfert Initiative.
Le Fonds National d’Amorçage et Inserm Transfert Initiative
Le Fonds National d’Amorçage (FNA) a été mis en place par l’Etat afin de soutenir les
entreprises qui développent des innovations technologiques, porteuses d’avantages compétitifs,
créatrices d’emplois et d’activité économique en leur apportant des fonds propres.
En réalisant une augmentation de capital de 33,5 millions d’euros, Inserm Transfert Initiative
devient la première société d’amorçage et de pré-amorçage en sciences de la vie adossé à un
organisme de recherche publique en France. Elle bénéficie de l’apport de l’Inserm via sa filiale
Inserm Transfert et de celui de partenaires privés et d’acteurs-clés de l’industrie pharmaceutique
et de la santé.
Inserm Transfert Initiative a placé au cœur de sa démarche de financement l’excellence
scientifique et l’accompagnement du chercheur à chaque étape du développement de son
entreprise. En quelques années, cette stratégie et le savoir-faire développés par Inserm
Transfert Initiative ont permis de structurer un portefeuille qui compte aujourd’hui 14 entreprises.
Au travers de cette opération, l’ambition d’Inserm Transfert Initiative est d’accompagner la
croissance de 15 à 20 nouvelles entreprises en investissant un montant moyen de 2 millions
d’euros par entreprise sur une période de cinq ans.
GSK et Inserm Transfert Initiative
GSK s’engage auprès de la société d’amorçage Inserm transfert Initiative, apportant un
financement de 1 million d’euros. Ce partenariat rentre dans le cadre d’une approche engagée
dans toutes les phases de la recherche, y compris les phases précoces et les plus risquées. A
travers Inserm Transfert Initiative, GSK a pour ambition de soutenir l'excellence de la recherche
française et d’en augmenter l’attractivité au sein d’un groupe international. GSK recherche aussi
de nouvelles voies d’innovation et met à disposition de la recherche publique française son
expertise et ses plateformes technologiques en R&D.
GSK : une politique d’ouverture et de partenariats externes
Avec plus de 4 milliards d’euros investis chaque année dans le monde, dont plus de 50 millions
d’euros en France dans la recherche fondamentale, clinique et pharmaco-épidémiologique, le
laboratoire GSK est un acteur majeur de la recherche.
Il souhaite également s’appuyer sur la recherche académique et sur celle d’autres laboratoires
extérieurs à tous les stades du développement des médicaments. Il a par conséquent adopté
une stratégie d'innovation ouverte, développant les collaborations entre des expertises
complexes et multiples, dans l’objectif de faire progresser la recherche et la mise à disposition
de nouveaux médicaments.
L’objectif de ces partenariats est également de soutenir des équipes de recherche publique pour
développer leurs projets et leur permettre d’atteindre ainsi l’étape de « preuve de concept »,
étape clé dans le développement clinique d’un médicament avant sa mise sur le marché.
GSK noue des alliances avec des institutions académiques, des entreprises de biotechnologie
ou d’autres laboratoires pharmaceutiques. Il a ainsi multiplié par trois ses investissements entre
2009 et 2011, avec plus de 25 partenariats de R&D dans les domaines de l’oncologie, des
neurosciences, des maladies auto-immunes, respiratoires, cardiovasculaires, du métabolisme et
des maladies rares.
De nombreuses collaborations ont été développées en France comme par exemple, l’Institut du Cerveau et de la Moelle Epinière (ICM), le CEA, l’INCA, l’Oncopôle de Toulouse. GSK soutient
également des projets européens comme IMI (Innovative Medicine Initiative) et contribue de
façon majeure au Fonds « InnoBio ».
Avec la conclusion de ce nouveau partenariat avec Inserm Transfert Initiative, GSK confirme
ainsi sa volonté de soutenir des fonds d’investissements destinés à financer des entreprises de
biotechnologie ou des « start-up ».
mardi 14 février 2012
GlaxoSmithKline (GSK), partenaire d’Inserm Transfert Initiative [Investissements d’avenir]
mardi 7 février 2012
TOP 10 des labos de l’automédication en 2011 [baromètre Afipa]
Le TOP 10 des laboratoires sur le marché de l’automédication en 2011
(classement en valeur) :
source : 10ème baromètre de l'automédication réalisé par Celtipharm pour l'Afipa -
- Sanofi
- Johnson & Johnson Santé Beauté
- Boiron Dolisos
- BMS-UPSA
- Pierre Fabre
- Bayer Santé Familiale
- Reckitt Benckiser Healthcare
- Cooper
- Merck Médication Familiale Sas
- Boehringer Ingelheim France
source : 10ème baromètre de l'automédication réalisé par Celtipharm pour l'Afipa -
jeudi 2 février 2012
PwC « Diagnostics 2011 » : l’intérêt pour le secteur du diagnostic médical in vitro affiche une forte croissance
18 janvier 2012 - De 2012 à 2014, PwC s’attend à une croissance de l’intérêt des investisseurs envers l’industrie du dispositif médical de diagnostic in vitro (DMDIV). Selon « Diagnostics 2011 », l’étude bisannuelle de PwC sur l’industrie du DMDIV, cette tendance fait suite à la montée en flèche de la valeur des fusions-acquisitions dans le secteur, l'accélération du nombre de partenariats avec l’industrie pharmaceutique portant sur les tests compagnons et l'émergence de nouvelles perspectives en matière de détection précoce du cancer observées ces deux dernières années.
Durant les sept premiers mois de 2011, plusieurs transactions, valorisées au-delà du milliard de dollars, ont contribué à plus que tripler la valeur des fusions-acquisitions de l’industrie du DMDIV par rapport à 2010, dépassant ainsi les 15 milliards de dollars.
Selon « Diagnostics 2011 », le regain d’intérêt pour le secteur provient non seulement des acteurs historiques du marché, mais aussi de nouveaux entrants, comme les investisseurs financiers, les groupes de produits de recherche , les laboratoires d’analyses médicales et les entreprises spécialisées dans les dispositifs médicaux. Cette arrivée, couplée à la conclusion de transactions de valeurs plus élevées que par le passé, pourrait redéfinir le paysage concurrentiel de l’industrie, alors que plusieurs acteurs confortent leurs parts de marché. Cependant, la pérennité des partenariats dans le domaine des tests compagnons sera tributaire des mesures de soutien à l'innovation par les gouvernements, les agences réglementaires et l’industrie.
Le rapport « Diagnostics 2011 » revient sur cinq facteurs qui pourraient influencer l'activité de fusions-acquisitions dans le secteur du DMDIV à l’horizon 2012-2015 :
« La forte croissance des transactions et la diversité des acquéreurs laissent prévoir de réelles perspectives positives dans certains secteurs du diagnostic in vitro, ainsi que des synergies intersectorielles potentielles », ajoute Loïc Kubitza,auteur du rapport « Diagnostics 2011 » et directeur dans le groupe « Pharmaceutiques et Sciences de la Vie » chez PwC Luxembourg.
L’industrie pharmaceutique évalue les options pour accéder à l’innovation dans le diagnostic
Parallèlement à la mise en place de partenariats externes pour accéder à l'innovation dans le domaine du diagnostic, les entreprises pharmaceutiques ont adopté quatre modèles pour s’investir dans le diagnostic in vitro :
Durant les sept premiers mois de 2011, plusieurs transactions, valorisées au-delà du milliard de dollars, ont contribué à plus que tripler la valeur des fusions-acquisitions de l’industrie du DMDIV par rapport à 2010, dépassant ainsi les 15 milliards de dollars.
Selon « Diagnostics 2011 », le regain d’intérêt pour le secteur provient non seulement des acteurs historiques du marché, mais aussi de nouveaux entrants, comme les investisseurs financiers, les groupes de produits de recherche , les laboratoires d’analyses médicales et les entreprises spécialisées dans les dispositifs médicaux. Cette arrivée, couplée à la conclusion de transactions de valeurs plus élevées que par le passé, pourrait redéfinir le paysage concurrentiel de l’industrie, alors que plusieurs acteurs confortent leurs parts de marché. Cependant, la pérennité des partenariats dans le domaine des tests compagnons sera tributaire des mesures de soutien à l'innovation par les gouvernements, les agences réglementaires et l’industrie.
Le rapport « Diagnostics 2011 » revient sur cinq facteurs qui pourraient influencer l'activité de fusions-acquisitions dans le secteur du DMDIV à l’horizon 2012-2015 :
- la poursuite d’acquisitions d’activités DMDIV par de nouveaux entrants ;
- la réponse des leaders historiques à cette nouvelle donne : en l'absence d'un programme d'acquisition d'envergure, les leaders historiques pourraient voir leurs parts de marché diminuer dans certains segments clés ;
- les acteurs du Private Equity à la recherche d’opportunités : on peut s'attendre à une augmentation du nombre des acquisitions de valeur importante financées par le capital investissement (Private Equity) — sous réserve du maintien des marchés de capitaux ;
- les grandes sociétés pharmaceutiques rachètent des entreprises spécialisées dans le diagnostic moléculaire ou tissulaire : malgré le nombre restreint de ce type de mouvement ces dernières années, les grandes sociétés pharmaceutiques se verraient encouragées par la confirmation du modèle de co-développement d’un médicament et d’un diagnostic ;
- l’entrée d’un grand acteur dans le secteur de la détection précoce : plusieurs entreprises sont à la pointe du développement d'une nouvelle vague de tests destinés à la détection précoce des principaux types de cancer. Il est difficile de prévoir si le marché adoptera l'utilisation de DMDIV non-invasifs pour le dépistage . Si tel est le cas, cela pourrait pousser une grande société de produits diagnostics ou pharmaceutiques à racheter certaines jeunes sociétés prometteuses dans le secteur de la détection précoce.
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Classement parts de marché 2009 des leaders du Diagnostic In Vitro /In vitro diagnostic (IVD)(1- Roche, 2- Abbott, 3-Siemens, 4- Johnson & Johnson, 5- Beckman Coulter, 6- bioMérieux, 7- Bayer, 8- Alere, 9- Becton Dickinson)
« La forte croissance des transactions et la diversité des acquéreurs laissent prévoir de réelles perspectives positives dans certains secteurs du diagnostic in vitro, ainsi que des synergies intersectorielles potentielles », ajoute Loïc Kubitza,auteur du rapport « Diagnostics 2011 » et directeur dans le groupe « Pharmaceutiques et Sciences de la Vie » chez PwC Luxembourg.
L’industrie pharmaceutique évalue les options pour accéder à l’innovation dans le diagnostic
Parallèlement à la mise en place de partenariats externes pour accéder à l'innovation dans le domaine du diagnostic, les entreprises pharmaceutiques ont adopté quatre modèles pour s’investir dans le diagnostic in vitro :
- la constitution d'une activité industrielle à part entière dans une division « diagnostics » ;
- la création d'une unité « diagnostics » au sein de la division « pharmaceutiques » pour développer des technologies de diagnostic pour des besoins spécifiques de cette division ;
- la mise en place d'un groupe de business développement « diagnostics » pour diriger certaines activités de partenariat de la division « pharmaceutiques » avec des tiers ;
- la création d'une division « produits de recherche » dont certaines technologies pourraient être adaptées à une utilisation médicale... lire la fin du communiqué de presse PricewaterhouseCoopers France -
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