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lundi 26 novembre 2012

BAROMÈTRE LIR/IFOP DE L’INNOVATION THÉRAPEUTIQUE 2012

LIR Les Laboratoires Internationaux de Recherche
BAROMÈTRE LIR/IFOP DE L’INNOVATION THÉRAPEUTIQUE 2012

Dans sa mission de réflexion et de contribution au débat sur la santé, le LIR, Think Tank Innovation Santé rassemblant 16 filiales des entreprises internationales de recherche, lance son premier baromètre LIR/Ifop de l’innovation thérapeutique en France dont une partie est dédiée à l’oncologie, sujet de santé prioritaire pour les pouvoirs publics :

  • pour 63% des personnes interrogées, l’innovation thérapeutique évoque la mise au point de traitements mieux adaptés à la vie quotidienne 
  • pour 58%, il s’agit de l’émergence de nouveaux médicaments 
  • pour 46%, l’innovation thérapeutique consiste en l’amélioration des techniques chirurgicales. 

Par ailleurs, 69% des Français se disent mal informés au sujet de ces avancées. Conscient de la complexité de l’innovation thérapeutique, le LIR met en avant sur son site internet une première sélection des grandes étapes des progrès thérapeutiques, par exemple, dans le domaine de l’oncologie.

 

Les Français ont une vision médicale et sociétale de l’innovation thérapeutique 

« Ces résultats traduisent une vision large de l’innovation qui renvoie non seulement à un plan médical, c’est-à-dire une avancée de la recherche, mais aussi à un plan sociétal, où l’innovation permet une adaptation des thérapies à la vie quotidienne » analyse Damien Philippot, Directeur d'études au sein du département d'opinion publique de l’Ifop.

La création d’innovation thérapeutique semble partagée entre plusieurs acteurs qui se complètent.
En effet :

  • 35% des sondés estiment que les organismes publics de recherche comme l’Inserm, le CNRS et l’INRA sont à l’origine de l’innovation thérapeutique en France 
  • 29% citent la collaboration publique/privée entre chercheurs 
  • Seules 14% des personnes interrogées mentionnent les industriels de la recherche pharmaceutique...

[...] 

 

...Plus de 2 Français sur 3 estiment être mal informés sur l’innovation thérapeutique

Les résultats du baromètre LIR/Ifop 2012 révèlent que 69% des Français se sentent mal informés sur l’innovation thérapeutique dont 10% « très mal ». Parmi les différents acteurs publics et privés, 29% des sondés estiment légitime que les organismes publics tels que la CNAM puissent jouer ce rôle d’informateur, 25% les médias et 23% les médecins généralistes.

L’association le LIR, espace d’échanges dont l’objet est de nourrir le débat des enjeux de la recherche et de l’innovation en santé, met à disposition des citoyens soucieux d’en savoir plus sur le sujet, des informations sur les grandes avancées thérapeutiques à l’instar des thérapies ciblées dans le traitement des cancers et sur les grandes étapes de R&D des laboratoires de recherche en oncologie rendues possibles notamment grâce aux partenariats de recherche public/privé... lire tout le communiqué de presse du LIR [Les Laboratoires Internationaux de Recherche] - [PDF] Etude réalisée par l'ifop pour LIR : Les Français et l’innovation thérapeutique -

jeudi 19 avril 2012

OMS : De nouveaux moyens d'incitation s'imposent pour encourager la recherche-développement en santé en faveur des pays en développement

Organisation mondiale de la Santé OMS
5 AVRIL 2012 | GENÈVE - Il ressort d'un rapport rendu public [...] par un groupe international d'experts constitué par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) que de nouvelles sources de financement sont nécessaires pour stimuler la recherche en santé concernant les maladies qui affectent la population des pays en développement.

Le groupe de travail consultatif d'experts sur le financement et la coordination de la recherche-développement a préconisé un engagement mondial accru en faveur du financement et de la coordination de la recherche en santé pour répondre aux besoins spécifiques des pays en développement. Le groupe propose un ensemble d'incitations nouvelles comme le recours à l'innovation ouverte, aux savoirs en libre accès et aux primes ainsi que des engagements de la part des gouvernements, la mise en commun de fonds et une convention internationale obligatoire sur la recherche mondiale en santé.

Comme l'a souligné John-Arne Røttingen, le président du groupe, "Les droits de propriété intellectuelle et les ventes ne constituent pas des incitations suffisantes pour encourager les investissements concernant les maladies qui affectent avant tout la population des pays en développement. Si leurs prix continuent de refléter l'ensemble des coûts de la R-D, les produits sanitaires resteront hors de portée pour ceux qui en ont le plus besoin. Il faut donc à la fois dissocier le coût de la recherche du prix des produits et offrir des mécanismes autres que les droits de propriété intellectuelle pour stimuler les investissements en faveur de la recherche sur ces maladies.”

Public funding of health R&D on neglected diseases as a proportion % of GDP in 2010 who g finder
cliquer sur l'image pour l'agrandir

Le rapport du groupe de travail consultatif intitulé "La recherche-développement axée sur les besoins sanitaires des pays en développement : renforcement du financement et de la coordination au niveau mondial" [rapport en anglais, pdf, 1.20Mb] comprend notamment les recommandations suivantes :


  • Les résultats de la recherche répondant aux besoins sanitaires des pays en développement doivent être dans le domaine public ou faire l'objet de licences auxquelles il est possible d'accéder librement. 
  • Il faut recourir aux communautés de brevets pour améliorer l'échange des résultats de la recherche. 
  • Des mécanismes de mise en commun des fonds doivent coordonner les ressources financières et certains fonds doivent être affectés au renforcement des capacités dans les pays en développement notamment sous la forme de subventions directes à des sociétés capables de promouvoir le transfert de technologies. 
  • L'OMS doit jouer un rôle de coordination central dans la recherche mondiale en santé. 
  • Il faut accroître le financement provenant des gouvernements et du secteur philanthropique en raison de l'insuffisance des investissements privés. 
  • Tous les pays doivent s'engager à consacrer au moins 0,01% de leur produit intérieur brut à la recherche en vue de mettre au point des technologies sanitaires pouvant être utilisées dans les pays en développement. 
Ces recommandations seront examinées par la 65ème Assemblée mondiale de la Santé en mai 2012.

mercredi 21 mars 2012

G5 santé : 10 propositions à l’intention des candidats à la Présidence de la République

G5 santé
13 mars 2012 - Le G5 santé publie un Livre Blanc pour souligner l’urgence d’une nouvelle politique industrielle de santé

Au moment où l’emploi et la ré-industrialisation de la France sont des sujets majeurs du débat public, le G5 Santé tient à rappeler que, dans un contexte de crise économique sans précédent, les industries de santé sont un atout majeur du pays pour l’emploi, la compétitivité, l’indépendance sanitaire et l’innovation.

Sur la base d’un diagnostic approfondi et publié sous forme d’un Livre Blanc, le G5 santé énonce 10 propositions clés pour répondre aux défis auxquels la France est confrontée dans le secteur des industries de la Santé. L’objectif est double : répondre mieux aux besoins de santé des Français et renforcer la place de la France en matière de santé dans la compétition internationale.

Pour le G5, le seul moyen d’y parvenir est de mener rapidement une double action :

  • Développer une filière santé dynamique dans un monde médical en mutation accélérée 
  • Refonder le dialogue avec les Pouvoirs publics au service de la santé des Français et de l’emploi 
Pour y parvenir, le G5 fait 10 propositions :

Reconnaître l’utilité économique et sociétale de la filière de santé :

1. Restaurer une vision stratégique commune et un dialogue fructueux entre les pouvoirs publics et les industries de santé, pour rénover la gouvernance politique et administrative

2. Respecter l’innovation, tenir compte des logiques industrielles dans la conduite des politiques de régulation et de fixation des prix, et mesurer l’impact des réformes sur les industries de santé, en étendant l’obligation d’études d’impact des décisions publiques aux conséquences sur la filière des industries de santé
 
3. Structurer une filière de santé pérenne pour réindustrialiser la France, en soutenant le Comité Stratégique de Filières (CSF), notamment en adoptant la notion de Service Sociétal et Environnemental rendu (SSER), en appuyant l’émergence de nouvelles filières à fort potentiel d’industrialisation, et en associant les acteurs pour répondre aux grands enjeux de santé publique

4. Favoriser l’emploi et la formation aux métiers des industries de santé par la création d’un guichet unique pour la mise en adéquation offre/demande de compétences, la réalisation d’une cartographie des besoins d’emploi et de formation, la mutualisation de plateformes en recherche publique, et en promouvant un plan national pour les formations et carrières mixtes

Rénover la gouvernance de l’accès au marché des innovations : 

5. Refonder l’accès au marché et encourager l’innovation, notamment en instaurant des critères objectifs et durables de fixation des prix, en élargissant la notion d’Amélioration du Service Médical Rendu (ASMR), en évaluant le médicament tout au long de son cycle de vie, et en permettant un enregistrement plus rapide des innovations de rupture

6. Créer une instance interministérielle d’arbitrage, rattachée au plus haut niveau de l’état, chargée d’arbitrer les grands équilibres financiers, sanitaires, industriels, et de recherche, tout en pérennisant le Comité Stratégique des Industries de Santé (CSIS)

Développer une politique de recherche concertée : 

7. Préserver le Crédit d’impôt recherche et développer les partenariats public/privé, notamment en faisant de l’Agence de Recherche et d’Innovation des Industries de Santé (ARIIS), de l’Agence Nationale de Recherche (ANR), et de l’Alliance pour les Sciences de la Vie et de la Santé (AVIESAN) de véritables pôles de pilotage des partenariats, tout en développant les pôles de compétitivité

8. Permettre aux industries de santé de maintenir une R&D de haut niveau, en développant des politiques fortes de soutien à la R&D publique et privée notamment par des programmes d’action nationaux (comme pour le cancer)

Promouvoir la place de la France à l’international : 

9. Favoriser l’émergence de champions nationaux des dispositifs médicaux et des solutions multitechnologiques en améliorant le financement des nouveaux produits de rupture. La France devrait être pilote dans la définition des standards et des normes qui contribueront au lancement de nouveaux paradigmes

10. Soutenir le développement international des entreprises de santé au service d’une véritable diplomatie sanitaire, en créant un crédit export pour les PME de santé, en développant des partenariats stratégiques avec les universités internationales, et en déployant une véritable diplomatie sanitaire à destination des zones d’influence française



A propos du G5 santé

Le G5 santé, porte-voix des industries de santé françaises, est un cercle de réflexion qui rassemble les dirigeants des principales entreprises françaises de santé et des sciences du vivant (bioMérieux, Ipsen, le LFB, Pierre Fabre, Sanofi). Celles-ci ont choisi la France comme plateforme de leur développement international et font de l’effort de R&D leur priorité. Les membres du G5 santé partagent 5 ambitions : faire reconnaître l’apport des industries des sciences de la vie en tant qu’acteur essentiel de la santé publique en France, contribuer au rétablissement de la compétitivité de la France, poursuivre un engagement fort au service de l’excellence de la recherche biomédicale française, développer l’accès des patients aux solutions de santé et soutenir le secteur des biotechnologies et des nouvelles technologies.

source :  communiqué G5 santé -

mardi 31 janvier 2012

Les orientations 2012 du LIR [Les Laboratoires Internationaux de Recherche]

Les Laboratoires Internationaux de Recherche LIR
19/01/12 - LE LIR SOUHAITE QUE S’OUVRE EN FRANCE EN 2012 UNE RÉFLEXION DE FOND SUR LES ENJEUX DE L’INNOVATION EN SANTÉ -

Les acteurs privés de la recherche internationale réunis au sein du LIR, association « think tank », orientent leurs travaux annuels autour de trois objectifs :


  • Accélérer le développement de la pharmaco-épidémiologie 
  • Bâtir des propositions sur le futur modèle d’évaluation de l’innovation thérapeutique 
  • Poursuivre le décloisonnement de la recherche public-privé


Créé, il y a tout juste 15 ans, le LIR est rapidement devenu un espace d’échanges connu pour ses réflexions et ses idées proposées sur l’innovation en santé et la modernisation du système de santé. Les 16 filiales d’entreprises internationales de recherche membres du LIR sont des acteurs essentiels de la recherche biomédicale. En 2010, ils ont investi 709 millions d’euros en R&D sur le territoire national. Fort de cette position, le think tank LIR a défini ses objectifs de travail 2012 afin de nourrir le débat et proposer des solutions à la collectivité et aux responsables en charge des politiques de santé autour de trois thèmes:

  • le développement de la pharmaco-épidémiologie 
  • le futur modèle d’évaluation de l’innovation thérapeutique 
  • le décloisonnement de la recherche public-privé


« Les crises tant sanitaires qu’économiques imposent de nouvelles voies pour évaluer les solutions thérapeutiques répondant à des besoins de santé avérés et méritant un financement collectif dans un monde de ressources contraintes. La France doit garder un rôle de leader européen sur le système d’évaluation fondé sur la valeur médicale et doit préfigurer un modèle européen émergent. La rigueur qui s’impose à tous ne doit pas nous enfermer dans des rigidités institutionnelles ou des postures politiques, mais exige bien au contraire, la réflexion conjointe de tous les acteurs impliqués au sein du système de santé » déclare Hervé Gisserot, Président du LIR et Président de GlaxoSmithKline France.

Accélérer le développement de la pharmaco-épidémiologie

Les entreprises internationales de recherche sont particulièrement attachées à pouvoir démontrer la valeur de leurs innovations et répondre aux besoins accrus de sécurité du médicament. Ils recommandent la mise en place de standards méthodologiques de niveau européen et international pour pouvoir accélérer l’innovation thérapeutique en faveur du patient. L’épidémiologie et la pharmaco-­-épidémiologie sont critiques pour mieux étudier les maladies, leur prise en charge et ainsi orienter la recherche clinique et son efficience. Démontrer la valeur de l’innovation en vie réelle suppose de partager des bases de données de référence générales et spécialisées, de pouvoir mener des études indépendantes et de coordonner la recherche pharmaco-épidémiologique en France. Donner les règles à suivre aux acteurs publics et privés, serait un véritable atout dans la compétitivité de la recherche en France.
Le think tank va ainsi initier au printemps 2012 une enquête dans 5 pays de l’Union Européenne afin d’étudier les pratiques de chaque pays en matière de pharmaco-épidémiologie et proposer ensuite des principes pour pouvoir construire des bases de données indépendantes et de référence internationale. Les résultats sont attendus à la fin de l’année.

Protéger l’accès à l’innovation thérapeutique

Développer un écosystème performant pour faciliter l’innovation en santé suppose une continuité entre la recherche la plus en amont et la stratégie finale de reconnaissance et de prise en charge de l’innovation. Les industriels de santé doivent désormais appréhender leurs médicaments dans le cadre de solutions thérapeutiques intégrées, dont l’évaluation et la reconnaissance seront de plus en plus fondées sur les résultats de santé globaux.
La priorité des résultats et leur mesure piloteront donc le développement des solutions de santé, leur reconnaissance et valorisation, les décisions de remboursement et le cas échéant les accords entre industriels, organes de remboursement, professionnels de santé et instances d’évaluation. Clarifier les missions des multiples autorités publiques intervenant dans la santé sera d’autant plus indispensable. Le LIR attend une gouvernance en santé claire pour tous les acteurs, qui permette dans un monde de ressources plus que jamais contraintes de continuer de protéger l’accès à l’innovation.
Le LIR souhaite que s’ouvrent en France en 2012, réflexions et dialogues qui permettront de garantir aux patients français le même accès au progrès thérapeutique que dans les autres pays européens.

Soutenir la compétitivité de la recherche

Enfin, le LIR prête une attention particulière à l’excellence de la recherche partenariale qui est la raison d’être de ses entreprises. Quelle que soit leur taille - plusieurs millions d’euros à quelques dizaines de milliers d’euros - les projets de recherche que mènent les entreprises du LIR en France prennent de multiples formes.
Ils impliquent un véritable échange scientifique public-privé et se placent à toutes les étapes de la chaine de valeur en santé : de la recherche fondamentale jusqu’aux études post-AMM. Un des éléments clés de ce rapprochement a été la création en 2009, à l’initiative du LIR, des Rencontres Internationales de Recherche, au cours desquelles les équipes de recherche académique rencontrent des décideurs industriels en charge des investissements de recherche au sein des entreprises internationales.
En 2012, Les membres du LIR poursuivent leur engagement auprès des équipes de recherche française sur l’ensemble des grands domaines thérapeutiques et des priorités de santé publique... lire la fin du communiqué de presse du LIR -

mardi 22 novembre 2011

Les Laboratoires Pierre Fabre adoptent la plate-forme ENOVIA Version 6 de Dassault Systèmes

Dassault Systèmes
PARIS, le 22 novembre 2011 - Les Laboratoires Pierre Fabre adoptent la plate-forme Version 6 de Dassault Systèmes pour déployer un environnement PLM nouvelle génération dédié aux sciences de la vie -

Leader dans le domaine des produits pharmaceutiques et dermo-cosmétiques, le groupe Pierre Fabre remplace la plupart de ses applications dédiées à la conception et au développement de ses produits par une plate-forme PLM unique Objectifs : améliorer la transversalité des métiers, réduire les délais de mise sur le marché et renforcer la traçabilité des produits —

Dassault Systèmes (Euronext Paris : #13065, DSY.PA), l’un des premiers éditeurs mondiaux de solutions 3D et de gestion du cycle de vie des produits (PLM — Product Lifecycle Management), annonce que les Laboratoires Pierre Fabre ont choisi sa solution ENOVIA Version 6 comme plate-forme de gestion du cycle de vie de leurs médicaments, produits de santé et dermo-cosmétiques. Cette plate-forme a vocation à soutenir l’internationalisation des activités de Pierre Fabre Médicament, Pierre Fabre Santé et Pierre Fabre Dermo-cosmétique, en permettant une vision complète et actualisée des flux matières, composants, des changements de ceux-ci, des documents et données réglementées correspondants.

Ce déploiement s’effectuera de manière progressive sur quatre ans. ENOVIA a déjà été mis en œuvre avec succès pour gérer les produits de la branche Pierre Fabre Dermo-Cosmétique, les matières premières, les substances et les liens pays /produits / formules. Au cœur de cette transformation, la plate-forme ENOVIA couvre le référentiel des produits tout au long de leur développement et contient l’ensemble des informations permettant de faciliter le pilotage, la prise de décision et la collaboration entre tous les acteurs de la chaîne (acheteurs, développeurs, réglementaires, assurance qualité, filiales, partenaires etc.)


Laboratoires Pierre Fabre

« Les processus de développement et de commercialisation des médicaments, produits de santé et dermo-cosmétiques sont complexes et réglementés afin d’améliorer la sécurité du patient et du consommateur. Le mot clef c’est la traçabilité des décisions et des processus. C’est ce que permettra le PLM, construit autour de chaque métier de la chaîne du médicament, de la santé et de la dermo-cosmétique. De plus, l’optimisation de nos processus via le PLM nous permettra également d’atteindre nos objectifs de réduction de délais de mise sur le marché, de conformité réglementaire, d’internationalisation et d’innovation», déclare Sylvie Touya, directrice des Programmes Stratégiques des laboratoires Pierre Fabre.

« Ce partenariat entre nos deux entreprises illustre l’engagement sans faille de Dassault Systèmes auprès des industriels des sciences de la vie », indique Jean Colombel, Vice President, industrie des sciences de la vie, Dassault Systèmes. « En tant que référentiel produits, ENOVIA Version 6 représente la fondation commune dont les entreprises ont besoin pour faciliter la collaboration, et ainsi atteindre leurs objectifs en matière d’innovation, de conformité réglementaire et de capitalisation de la propriété intellectuelle. »... lire la suite du communiqué de presse de Dassault Systèmes - Communiqué de presse des Laboratoires Pierre Fabre -

mercredi 9 novembre 2011

10ème forum de Paris Biotech Santé : « Innovation thérapeutique et création d’entreprises dans le domaine de la santé humaine », mardi 22 novembre 2011 à la Faculté de Médecine Paris Descartes

Paris Biotech Santé
Le 10ème forum de Paris Biotech Santé se tiendra le mardi 22 novembre 2011 à la Faculté de Médecine Paris Descartes.

Innovation thérapeutique et création d’entreprises dans le domaine de la santé humaine

Matinée présidée par Axel KAHN : Président de l’Université Paris Descartes – Président de Paris Biotech Santé


  • Ouverture : L’ Innovation en santé humaine



  • Table Ronde 1 : Les nouveaux modèles économiques de la création de start-­‐up en santé humaine



  • Table Ronde 2 : Les facilitateurs de la création d’entreprises



  • Clôture : Laurent WAUQUIEZ : Ministre de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche



programme 10ème forum de Paris Biotech Santé Innovation thérapeutique et création d’entreprises dans le domaine de la santé humaine
Cliquer sur l'image du programme pour l'agrandir

Faculté de Médecine Paris Descartes
24, rue du Faubourg Saint-Jacques
Amphithéâtre Luton
Paris 14°

vendredi 2 septembre 2011

Tribune du Leem dans la presse quotidienne régionale : Médicament, ne nous trompons pas d'enjeu !

01 09 11 - le Leem publie une tribune dans 61 titres de la presse quotidienne régionale, afin d’attirer l’attention des Français sur les risques de détournement des enjeux de santé publique, à l’occasion de l’examen prochain, par le Parlement, du projet de réforme du médicament et du projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS).


Dans ce message, le Leem rappelle son total soutien aux mesures visant au renforcement de la sécurité sanitaire dans l’intérêt des patients, qu’il s’agisse de la création de la nouvelle Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), du déploiement d’un nouveau dispositif de pharmacovigilance, ou encore de l’instauration d’un Sunshine Act à la française visant à renforcer la transparence des liens entre l’industrie et les experts scientifiques.

campagne pqr 2011 leem médicaments ne nous trompons pas d'enjeu
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En revanche, le Leem dénonce des dispositions déconnectées de l’enjeu initial de sécurisation de la chaîne du médicament. En effet, la réforme en cours comprend un certain nombre de mesures d’opportunité qui font peser des menaces sur l’accès des patients à l’innovation thérapeutique, sur l’emploi et l’activité du secteur, sur l’attractivité du territoire et la vocation de la France à demeurer un grand pays des sciences du vivant.



« Depuis l’annonce de ce projet de réforme du médicament, observe Christian Lajoux, président du Leem, de nombreux dirigeants nationaux et internationaux nous ont fait part de leurs très vives inquiétudes. La nécessité de refonder la sécurité sanitaire dans l’intérêt des patients ne doit pas remettre en cause la volonté politique de développer l’attractivité et la compétitivité du territoire, fondée sur le dialogue, les accords conventionnels et les engagements partagés »... lire la suite du communiqué de presse du Leem - LEEM les entreprises du médicament sur Dailymotion -

vendredi 12 août 2011

Le premier « Concours Innovation » de Merck Serono s'est terminé avec succès

GENEVE, August 12, 2011 - Merck Serono annonce aujourd'hui la fin du Concours Innovation lancé au début de cette année et, à l'issue de la semaine de stage, dévoile les noms des lauréats. Ce programme a offert à 25 étudiants en science de la vie et en administration des entreprises, sélectionnés dans le monde entier, l'opportunité d'une initiation à la Recherche et Développement (R&D) dans l'industrie pharmaceutique, de développer leurs compétences entrepreneuriales et de transformer une idée originale en un plan de développement convaincant.

"Le "Concours Innovation" a remporté un grand succès et a fait naître de nombreuses idées innovantes, en grande partie du fait de la diversité des approches et des réflexions des professionnels expérimentés et des jeunes étudiants talentueux," a déclaré Dietmar Eidens, Responsable des Ressources Humaines au niveau mondial. "Nous sommes heureux d'avoir été à l'origine d'une telle opportunité visant à faire de l'innovation une réalité et à développer les talents d'aujourd'hui pour les projets professionnels de demain."

Merck Serono innovation cup 2011
Le plan de développement le plus convaincant décrit une idée de projet innovante en matière d'ingénierie des protéines et pourrait bénéficier à la R&D de Merck Serono dans tous ses domaines thérapeutiques majeurs.

L'équipe gagnante a été récompensée par un prix d'une valeur de 10 000 EUR ainsi que le trophée de l'Innovation décernés par un Grand jury, composé de managers Merck Serono senior issus de la R&D et du Développement du Portefeuille... lire la suite du communiqué de presse [PDF] de Merck Serono -

lundi 18 juillet 2011

Secteur pharmacie sciences du vivant biotechnologies représente 36,2% des lauréats du Concours 2011 Oséo/MESR d'aide à la création d'entreprises

ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche MESR07.07.11 - L'édition 2011 du concours national à la création d'entreprises de technologies innovantes, organisée par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche (MESR) et OSEO, a distingué, le 28 juin dernier, 149 lauréats « création-développement » et « en émergence ».

« … Chaque année, ce concours célèbre l’envie d’entreprendre, de créer, d’innover. Chaque année, il met en lumière des projets particulièrement prometteurs. Chaque année, il confirme que la France est en passe de redevenir un grand pays d’innovation… », a rappelé la ministre Valérie Pécresse avant de remercier Jacques Lewiner, qui a présidé le jury national, ainsi que François Drouin et l’ensemble des équipes d’OSEO et du ministère, qui assurent l’organisation du Prix.

oseo
67 lauréats « création-développement »

Ils recevront, après création de leur entreprise, une subvention d’un montant moyen de 214 224 euros pour financer jusqu’à 60 % de leur programme d’innovation.
Quelques exemples : une technologie brevetée d’extraits végétaux à base d'huiles végétales, dits « oléoactifs » à la fois stables, efficaces, 100% naturels et biocertifiables ; des hydroliennes conçues pour produire de l'électricité ; des solutions innovantes simplifiant et améliorant la qualité des images tournées en 3D…

82 lauréats « en émergence »

Ils recevront, à titre personnel, une subvention d’un montant moyen de
31 000 euros pour financer jusqu’à 70 % des prestations nécessaires à la maturation et à l’établissement de la preuve du concept de leur projet.
Quelques exemples : outils innovants pour l'étude des maladies épigénétiques, nouvelle approche pour résoudre les problèmes que rencontrent les employés très mobiles des multinationales…

Le secteur Pharmacie sciences du vivant et biotechnologies maintient son avance en représentant à lui seul 36,2 % des lauréats du 13e concours national d'aide à la création d'entreprises de technologies innovantes oseo ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche MESR
Répartition des projets lauréats 2011 par domaine technologique
(cliquer sur l'image pour l'agrandir)

Domaines technologiques des projets lauréats

Les tendances pour 2011 :
  • Forte progression des projets du secteur "chimie et sciences des matériaux",
  • Diminution notable des projets "Informatique, logiciel et TIC",
  • Un secteur "pharmacie, sciences du vivant et biotechnologies" qui maintient son avance en représentant à lui seul 36,2 % des lauréats.

Chiffres-clés
  • 13 éditions du concours
  • 330 millions d'euros mobilisés
  • 17 400 candidatures (environ un millier par an)
  • 2 543 lauréats
  • près de 1 300 entreprises créées

jeudi 7 juillet 2011

France Biotech : manifeste pour une politique de l’innovation industrielle dans les Sciences de la Vie (élection Présidentielle 2012)

France biotech23/06/2011 - France biotech publie un manifeste pour une politique de l’Innovation industrielle dans les Sciences de la Vie - L’innovation : moteur de l’économie et de la compétitivité nationale

Contexte

Au coeur de ruptures technologiques majeures, les sociétés de biotechnologie constituent un secteur stratégique du point de vue économique, social et de la santé publique. Les entreprises de ce secteur sont des réservoirs d’innovation pour de nombreux domaines tels que la santé, les nouveaux matériaux ou les énergies renouvelables.
Les PME de biotechnologies sont non seulement les maillons indispensables de transfert de technologie entre la recherche académique et le monde économique, mais elles ont également le potentiel de devenir, pour certaines d’entre-elles, les SANOFI de demain.
A titre d’exemple, la société de biotechnologie américaine AMGEN qui a développé l’EPO (érythropoïétine) a été fondée par 3 chercheurs en 1980. Trente ans plus tard, cette société
de biotechnologie compte plus de 18 000 collaborateurs, et génère à ce jour plusieurs milliards de dollars de chiffre d’affaires.
Mais, il faut pour cela créer un environnement législatif et fiscal qui permettra aux sociétés de biotechnologie de croître sereinement et de se structurer.
En France, 80% du financement du secteur repose sur le capital-risque alors qu’aux États-Unis, le financement des biotechnologies repose non seulement sur le capital-risque, très en amont dans les phases de développement (50% des investissements en amorçage), mais aussi sur des alliances avec des groupes pharmaceutiques, et sur le dynamisme du marché boursier.
Certes des contraintes supplémentaires existent en Europe par rapport aux USA en raison de la diversité des systèmes de santé nationaux, mais ces contraintes sont amplifiées par une instabilité fiscale permanente qui n’aide pas à assurer l’attractivité de notre territoire pour des investisseurs internationaux.
Des avancées majeures ont été réalisées ces dernières années en France pour pallier ces problèmes (réforme de la recherche, Jeune Entreprise Innovante, amélioration conséquente du Crédit d’Impôt Recherche) mais il reste à les consolider et surtout à les pérenniser.
C’est dans ce contexte que France Biotech et son conseil d’administration souhaitent contribuer au débat national pour améliorer l’attractivité de notre territoire en faveur de l’innovation dans le domaine de la santé et du développement durable.
France Biotech propose aux candidats à la Présidence de la République 5 grands axes prioritaires pour les acteurs du domaine des sciences de la vie afin d’orienter la politique industrielle vers les PME porteuses d’innovation.
Les PME jouent de plus en plus un rôle crucial dans la création d’emplois, notamment de jeunes diplômés, et dans leur capacité à innover pour les marchés de demain. Pour atteindre cet objectif, le principe « Penser aux PME d’abord » nous semble essentiel et doit être ancré de manière irréversible dans l’esprit collectif. Les PME ne doivent pas être perçues par les pouvoir publiques comme des sous-traitants de grands groupes mais comme des ETI en devenir et potentiellement comme de futures multinationales fer de lance de l’industrie innovante française.
Il nous semble indispensable d’aider les PME en croissance à se développer et faire tomber les obstacles qui freinent voire obèrent la création et la croissance d’entreprises innovantes. Pour cela, France Biotech recommande aux candidats à la Présidence de la République d’instaurer une politique forte d’aide à l’innovation centrée sur les PME, véritable moteur de l’économie et de la compétitivité nationale et vivier d’innovation pour notre industrie.

manifeste pour une politique de l’Innovation industrielle dans les Sciences de la Vie élection présidentielle 2012 France Biotech propose aux candidats à la plus haute fonction del’État de mettre en oeuvre 35 trente-cinq propositions
LES PROPOSITIONS DES ACTEURS DES SCIENCES DE LA VIE

Les propositions de France Biotech se déclinent en 5 axes :

AXE I : Structurer la filière de recherche, valoriser les travaux de nos scientifiques, favoriser les posserelles publiques/privés, donner à nos étudiants et chercheurs un esprit entrepreneurial

AXE II : Créer un véritable statut de la Jeune Entreprise Innovante, accorder aux JEI labellisées par OSEO des avantages en matière sociale, fiscale et juridique en prenant en compte leurs potentiels

AXE III : Consolider la chaîne de financement, orienter les fonds publics et privés en faveur de l’innovation

AXE IV : Structurer la filière industrielle, orienter les politiques publiques en faveur d’une collaboration entre les grands groupes et les PME Innovantes

AXE V : Restructurer une politique sanitaire et réglementaire favorable à l’innovation et à ses spécificités

Présidence de la République  Élysée fr
Conclusions – Perspectives de développement économique :

Née il y a plus de 30 ans aux États-Unis, cette industrie, en forte croissance, est arrivée à maturité dans cette région, qui domine aujourd’hui incontestablement les marchés mondiaux de la santé. Le secteur des biotechnologies affiche une croissance de 12% entre 2007 et 2010, avec des revenus dépassant 90 milliards de dollars. En France, le vivier de PME de biotechnologies est dynamique et robuste : on dénombre plus de 300 PME, orientées à 48 % dans la santé humaine et employant près de 6 000 personnes, dont 70% de chercheurs. En 2010, 157
de ces « biotechs » sont engagées dans environ 104 projets de développement pré-clinique et clinique et 20 produits sont commercialisés ce qui témoigne de la forte productivité et du
dynamisme de ces entreprises.
D’autres sociétés innovantes se développent notamment dans le secteur des nanobiotechnologies, avec des traitements anticancéreux ou des « nanocoachings » pour implants chirurgicaux, dans l’imagerie médicale ou encore dans les thérapies cellulaires et l’ingénierie tissulaire, l’énergie et l’alimentation.
Il reste à consolider l’édifice en musclant nos PME, tant au plan financier qu’au plan de la valorisation de cette industrie auprès de la communauté des chercheurs. La France a fait un effort considérable pour soutenir l’innovation ces dernières années. Le fruit de cet investissement est désormais à portée de main en France, ne relâchons pas l’effort qui a été réalisé, ça serait un véritable gâchis !
Aujourd’hui, la France est l’un des pays au Monde reconnu pour son attractivité avec le Crédit d’Impôt Recherche et le Gouvernement a annoncé l’implantation de 150 centres de recherche étrangers depuis 3 ans dans l’Hexagone.
Cette attractivité, qui avait permis le développement d’un nouveau tissu industriel naissant en France, est aujourd’hui trop orienté pour favoriser les grands groupes industriels français et étrangers sans une volonté de donner la possibilité aux PME innovantes de devenir des ETI moteur de notre économie... lire le communiqué de presse de France biotech - Télécharger le manifeste France Biotech - Présidentielle 2012 -


mardi 14 juin 2011

Essoufflées par leur course à la R&D, les big pharmas s'orientent vers l'innovation ouverte

bulletins electroniques adit ministere des affaires etrangeres et europeennes10/06/2011 - Innovation et Valorisation de la recherche - On le sait les coûts de développement des nouveaux produits pharmaceutiques ou biotechnologiques sont faramineux : 1,3 milliard selon l'industrie du médicament.
Ce coût a cru de façon exponentielle durant ces 20 dernières années. Pour autant, le nombre de médicaments lancés sur le marché n'a pas suivi cette pente ascendante. Il est même resté stable. Il y a ainsi une diminution drastique du ratio entre le nombre de nouvelles molécules et les dépenses en R&D. En effet, en 1996, on comptait environ 52 nouvelles molécules pour une dépense totale de R&D de 17 milliards de dollars contre 20 nouvelles molécules pour 50 milliards de dollars en 2008. Fait à noter, les petites entreprises de biotechnologies ont mis au point davantage de produits que les entreprises pharmaceutiques.

Selon un rapport de "Burrill & Company" portant sur les biotechnologies et les sciences de la vie, la stratégie de fusion / acquisition des entreprises pharmaceutiques n'a pas eu l'effet escompté sur l'innovation. Le terme "échec" est même prononcé. Les chiffres parlent d'eux-mêmes. Réalisée à partir des données de 17 groupes pharmaceutiques les plus actives sur le marché des F&A, l'étude indique que les acquisitions de ces groupes s'élevant à un total de 1,57 trillion de dollars (mille milliards) dans les années 2000 sont désormais estimées à 1,041 trillion (chiffres 2010). De plus, en retranchant les 420 milliards en acquisition durant l'année 2010, l'estimation retombe à 1 trillion. Soit une dévaluation de 570 milliards.

burrill and company
Le constat est simple : investir davantage ne suffit plus !

Les tendances ne vont pas à la faveur des sociétés pharmaceutiques. Premièrement, la concurrence entre les médicaments de marque et les médicaments génériques devient de plus en plus rude puisque d'une part les brevets des blockbusters arrivent à expiration. Secondement, le législateur et les organismes de remboursement des médicaments tendent à favoriser les médicaments génériques. De surcroît, le cadre réglementaire désormais plus rigoureux n'est pas à la faveur du lancement de nombreux produits sur le marché.

Les entreprises pharmaceutiques ont donc besoin d'innover et ceci très rapidement.

Plusieurs stratégies ont été mises en oeuvre :
  1. Celles qui permettent de réduire les coûts de recherche comme l'externalisation des unités de recherche, ou les collaborations avec les universités.
  2. Celles qui consistent à acquérir des entreprises pharmaceutiques (Merck-Schering Plough ou Pfizer/Wyeth) ou biopharmaceutiques (Sanofi/Genzyme) afin de compléter les portefeuilles de produits nouveaux.
  3. Celles qui consistent à mettre la priorité dans des domaines clés de recherche (cancer, diabète par exemple) : stratégie clairement affiché de Pfizer qui souhaite réduire de ses dépenses de R&D.

Aucun résultat probant n'a été observé jusqu'à maintenant.

Elias Zerhouni, responsable de la R&D à Sanofi l'indique sans détour : "il est nécessaire de repenser les stratégies et orientations jusqu'alors mises en place".

De nouvelles orientations stratégiques sont donc envisagées :
- En partant du constat que l'acquisition des entreprises de biotechnologie n'apportait pas de résultats probants, les têtes dirigeantes ont pris du recul et consenti que l'environnement de travail importait beaucoup. Ces dernières souhaitent ainsi garder en l'état les entreprises acquises c'est-à-dire qu'ils souhaitent préserver la culture innovante des petites start-ups. De cette volonté émerge l'idée de créer des petites unités de recherche, spécialisée et indépendantes de la société mère.
- L' "Open innovation" ou le modèle d'innovation ouverte... lire la suite sur bulletins-electroniques.com -

jeudi 24 mars 2011

BioVision : du 27 au 29 mars 2011, Palais des Congrès de la cité internationale, Lyon

BioVisionLa 7e édition de BioVision se déroulera à Lyon au Palais des Congrès de la cité internationale, du 27 au 29 mars 2011. Plus de 180 intervenants de renommé mondiale, scientifiques, industriels, représentants de la société civile et d’organisations non gouvernementales… se retrouveront pour dialoguer et débattre en anglais des grands enjeux scientifiques, économiques et sociétaux des sciences de la vie...

[...]

...A propos de BioVision

Depuis plus de 10 ans, BioVision organise de façon originale le débat autour des implications sociétales des progrès scientifiques avec l’ensemble des acteurs concernés au plus haut niveau : représentants de l’industrie, du monde politique, des associations de patients...
Durant trois jours, les plus grands déciderus et experts des sciences de la vie viennent faire le point sur des avancées scientifiques importantes en matière de santé, nutrition, environnement et débattent avec l’ensemble des parties prenantes - qui ont rarement l’occasion de dialoguer entre elles... de l’impact de ces innovations scientifiques et industrielles pour la société. BioVision a été créé en 1999 à l’initiative de Raymond Barre, ancien Premier ministre, et ancien Vice-président de la Commission Européenne, François Gros, Secrétaire perpétuel de l’Académie des Sciences, avec le soutien de grandes organisations internationales, de la Commission Européenne, des collectivités locales (Ville de Lyon, Grand Lyon, Département du Rhône, Région Rhône-Alpes), d’associations, d’ONG et d’entreprises concernées par les sciences de la vie... voir la page "Qu'est ce que BioVision?" dans son intégralité -

Aperçu du Programme :

Parcours "Point de vue des décideurs"

  • Plénière 1 : la santé, un droit pour tous les êtres humains, à n'importe quel prix ?
  • Plénière 2 : médicaments et pays en voie de développement
  • Plénière 3 : reconstruire la vie : quelle biologie pour le futur ?
  • Plénière 4 : quelle sera notre alimentation en 2020 ?
  • Plénière 5 : Pasteur et Fleming auraient-ils survécu au principe de précaution ?
  • Plénière 6 : penser la prise en charge de la santé « version 3.0 » : sortir des sentiers battus

Parcours "Avancées scientifiques"

Santé
  • Thème 1 : le cerveau, les émotions et le comportement social
  • Thème 2 : peut-on "guérir" le vieillissement ?
  • Thème 3 : de la biologie intégrative à la médecine personnalisée
  • Thème 4 : comprendre le fonctionnement du cerveau humain dans un proche avenir
  • Thème 5 : la recherche sur le cancer pour un traitement personnalisé des patients
  • Thème 6 : comment gérer les maladies émergentes et ré-émergentes ?
  • Thème 7 : thérapie cellulaire : les défis scientifiques, thérapeutiques et éthiques

Environnement
  • Thème 8 : Environnement et CO2
  • Thème 9 : les biocarburants extraits de la biomasse
  • Thème 10 : convertir le "bio" en or

Nutrition
  • Thème 11 : la santé, la nutrition et les bactéries
  • Thème 12 : nourrir plus, nourrir mieux

Business in life sciences
  • Table ronde 1 : comment relever le défi grandissant des maladies chroniques dans les pays émergents ?
  • Table ronde 2 : comment l'innovation technologique peut-elle transformer l'accès aux soins ?
  • Table ronde 3 : comment résoudre le défi de l'"open innovation" en recherche & développement
  • Table ronde 4 : Boston, Mumbai, Nairobi..? Quel « new deal » géographique pour dynamiser l’innovation en matière de maladies infectieuses ?

Soirées

mardi 15 mars 2011

jeudi 25 novembre 2010

Projet pharmaceutique russo-britannique de 900 millions de dollars

MOSCOU, 25 novembre - RIA Novosti - Innovation: Moscou et Londres lancent un projet pharmaceutique pour 900 M USD - Le groupe public russe de nanotechnologies Rosnano et ses partenaires britanniques lanceront un projet pharmaceutique pour un montant de 900 millions de dollars, a annoncé jeudi le directeur général de Rosnano Anatoli Tchoubaïs à l'issue d'une table ronde russo-britannique à Moscou.

rosnano rusnano
"L'industrie pharmaceutique innovante est un domaine intéressant. Nous envisageons de lancer un projet de quelque 900 millions de dollars. Ce sera le plus important projet pharmaceutique russe", a indiqué M.Tchoubaïs.
Rosnano compte également coopérer avec les Britanniques dans l'électronique sans silicium et la conception de diodes électroluminescentes organiques, selon lui.

UK BIS Secretary of State for Business, Innovation and Skills
Placée sous le thème "Climat d'affaires pour les innovations", la table ronde russo-britannique a réuni les dirigeants d'une trentaine de sociétés britanniques, les représentants de la Fondation pour le développement du centre d'innovation russe Skolkovo, de banques russes, de l'Union russe des industriels et des entrepreneurs. La délégation britannique était conduite par le ministre des Affaires, de l'Innovation et du Savoir-faire Vince Cable.
source : RIA Novosti -

mercredi 20 octobre 2010

Progressions, Pharma 3.0 : premières observations de l’enquête mondiale d'Ernst & Young sur l'industrie pharmaceutique

Ernst & YoungLes sociétés des technologies de l'information, les grands réseaux de distribution et les sociétés de télécommunications sont devenus des acteurs stratégiques non traditionnels qui entrent dans le paysage de la santé, illustrant les changements rapides dans ce secteur.
Les laboratoires pharmaceutiques recherchent de nouveaux modes de collaboration avec ces professionnels pour améliorer leurs résultats et ceux attendus pour les patients. Toutefois, la plupart des dirigeants interrogés sont hésitants sur la façon dont ils devront gérer ces nouvelles alliances.
Telles sont les premières observations de l’enquête mondiale d'Ernst & Young sur l'industrie pharmaceutique intitulée Progressions, Pharma 3.0.
“Malgré les bouleversements de ces dernières années, les dirigeants comprennent que le paysage est en train de devenir de plus en plus complexe avec l'arrivée des nouveaux entrants, attirés par le secteur en nombre toujours plus grand”, souligne Virginie Lefebvre-Dutilleul, en charge du secteur pharmaceutique en France chez Ernst & Young. “Ceux qui sauront maîtriser ces nouvelles combinaisons gagnantes devront s’associer dans l’intérêt des patients et des consommateurs de plus en plus avertis”
L’étude décrit une transition rapide du modèle dit « Pharma 1.0 » correspondant au modèle d’intégration verticale des blockbusters, au modèle d'entreprise « Pharma 2.0 » d'aujourd'hui. Selon ce modèle d'entreprise, les laboratoires ont diversifié leur portefeuille d'activités (génériques, vaccins, santé animale et produits de consommation) et étendu leurs marchés pour y inclure les pays émergents. Ils ont aussi procédé à un certain nombre de changements dans leur mode de productivité et de performance financière. Ces changements portent notamment sur la recherche de thérapies plus ciblées, l'élargissement de leur portefeuille de produits et de leurs ressources, jusqu'à la mise en place d'unités de R&D plus autonomes et plus souples, le développement de partenariats avec des sociétés de biotechnologie et des universités et l'externalisation de nombreuses fonctions...

Ernst & Young Progressions Pharma 3.0
[...]

...La gestion et l'optimisation d'un réseau toujours plus complexe de partenaires sera aussi une période charnière pour les leaders de l'industrie. Le succès dépendra de leur capacité à s’intégrer à d’autres modèles d'entreprises, mais dépendra aussi de leur facilité à évoluer dans un nouvel environnement Pharma 3.0, dont les défis sont multiples:
  • A l’heure où les patients sont devenus les acteurs de leur santé grâce au dossier médical personnalisé, aux applications pour smartphones et à d'autres technologies, les laboratoires pharmaceutiques restent largement à l'écart de cette révolution, limités par un cadre réglementaire limitant leurs relations avec les patients.
  • Alors que les principaux hôpitaux et les payeurs travaillent sur des corrélations entre les modes de prescription et les résultats pour les patients à partir des dossiers médicaux électroniques, les laboratoires pharmaceutiques ont perdu le contrôle exclusif qu'ils détenaient autrefois sur les données relatives aux résultats, ce qui pose un risque en matière de remboursements et oblige à prendre des décisions stratégiques sur la nécessité éventuelle de nouvelles compétences en matière d'analyse des données...
[...]

...L’enquête met également en lumière les tendances suivantes :
  • 92 % des répondants envisagent de nouveaux entrants dans l'écosystème Pharma 3.0 ; les sociétés de santé électronique (e-health), de santé mobile (m-health) et de nouvelles technologies médicales étant les nouveaux entrants les plus probables.
  • 67 % des répondants se disent mal préparés à l'évaluation et la modélisation des transactions potentielles avec des partenaires non traditionnels... lire tout l'article d'Ernst & Young -

mardi 5 octobre 2010

2ème Journée Parlementaire de la Biotechnologie, à Paris, à l’Assemblée Nationale, le vendredi 8 octobre 2010

September 09, 2010 - La 2ème Journée Parlementaire de la Biotechnologie « Biotech Pharma : Quel cercle vertueux pour le financement de la santé à l’horizon 2020 ? », organisée par Nixon Peabody et Biotech finances se tiendra à Paris, à l’Assemblée Nationale, le vendredi 8 octobre 2010, en partenariat avec Business Wire, leader mondial de la diffusion d’information.

Le Professeur Bernard Debré, Député de Paris, présidera cette Journée qui réunira acteurs de la bioindustrie, biotechnologies et groupes pharmaceutiques, financiers, universitaires, décideurs politiques, représentants des ministères de la Santé et de l’Industrie, des organismes de recherche et de valorisation, cliniciens et associations de patients...

La jeune industrie française des biotechnologies est aujourd’hui l’acteur et l’agent d’une révolution à l’œuvre dans le paysage pharmaceutique français, travaillé en profondeur par des forces de mutations qui redéfinissent non seulement les business modèles de l’industrie mais aussi les grands équilibres des systèmes de santé et de remboursements des soins.

La deuxième édition des Journées Parlementaires de la Biotechnologie entend mesurer l’impact économique, politique et sociétal des fortes mutations en cours dans l’industrie biopharmaceutique au travers de trois tables-rondes réunissant les grands acteurs du secteur pour débattre des questions suivantes :

Comment accélérer en France la grande dynamique public/privé tant espérée pour la consolidation de notre système de santé ?
Quelles valorisations pour les « biotechs », à l'aune des options de financements, des sorties et de l’accès au marché ?
Face à l’innovation thérapeutique, les modèles économiques de santé doivent-ils évoluer vers un modèle de services ?... lire tout le communiqué de presse Business Wire -

extrait du programme de la journée :

La deuxième Journée Parlementaire de la Biotechnologie « Biotech Pharma : Quel cercle vertueux pour le financement de la santé à l’horizon 2020 ? »

...Table Ronde 1 de 9h15 à 10h30 :

Comment accélérer en France la grande dynamique public/privé tant espérée pour la consolidation de notre système de santé ?

Quelles seront les attributions et les capacités d’action des nouvelles organisations IHU – IRT en matière d’interfaçage public – privé ?
Comment interagir demain avec ces nouvelles structures ?
Quels financements seront mis à disposition des entreprises, des laboratoires et des universités en relation avec ces organisations ?
Comment les groupes pharmaceutiques vont-ils s’intégrer dans cette nouvelle approche ?
Quels bénéfices pour les patients ?...

[...]

...Table Ronde 2 de 11h00 à 12h15 :

Quelles valorisations pour les « biotechs », à l'aune des options de financements, des sorties et de l’accès au marché?

Quels sont les challenges de l’industrie européenne des sciences de la vie, et plus particulièrement des biotechs, en matière de financements ?
Notre industrie dispose-t-elle et bénéficie-t-elle des bons outils et relais de croissance sur son marché natif ?
L’accès au marché européen est-il un véritable atout de valorisation ?
Quelle lecture faut-il faire des nouvelles opérations d’acquisitions et de partenariats des « big pharma » en Europe et aux Etats-Unis ?...

[...]

...Table Ronde 3 de 14h00 à 15h15 :

Face à l'innovation thérapeutique, les modèles économiques de santé doivent-ils évoluer vers un modèle de services ?

Quel sera demain le profil du blockbuster : vers la fin du modèle quantitatif ?
Comment continuer à financer l'innovation thérapeutique dans notre système actuel de remboursement ?
Des scenarii alternatifs existent-ils déjà dans les modèles britannique, américain et français ?... Programme du vendredi 8 octobre 2010 -

jeudi 22 juillet 2010

Commission européenne : 6,4 milliards d’euros, le plus grand investissement jamais réalisé par l’Europe dans la recherche et l’innovation

Commission européenne : la recherche, de l’innovation et de la science19 juillet 2010 - 6,4 milliards d’euros pour la croissance intelligente et la création d’emplois, le plus grand investissement jamais réalisé par l’Europe dans la recherche et l’innovation - Máire Geoghegan-Quinn, membre de la Commission européenne responsable de la recherche, de l’innovation et de la science, a annoncé aujourd’hui que la Commission allait investir près de 6,4 milliards d’euros dans la recherche et l'innovation. Ce financement, le plus important jamais réalisé dans ce domaine, couvre toute une série de disciplines scientifiques, de domaines de politique publique et de secteurs commerciaux. Il permettra de faire des avancées scientifiques et de renforcer la compétitivité de l’Europe et contribuera à relever des défis sociétaux tels que le changement climatique, la sécurité énergétique et alimentaire, la santé et le vieillissement de la population. Près de 16 000 participants issus d'organismes de recherche, d’universités et de l'industrie, dont environ 3 000 PME, pourront ainsi bénéficier d’un financement. Les subventions seront attribuées par voie d’appels à propositions (invitations à soumissionner) et d’évaluations dans le courant des 14 prochains mois. De nombreux appels seront officiellement publiés le 20 juillet. Cette enveloppe financière vise à stimuler l’économie et devrait permettre la création de plus de 165 000 emplois. Il s’agit par ailleurs d’un investissement à long terme dans une Europe plus intelligente, plus durable et plus égalitaire, qui constitue un élément fondamental de la stratégie «Europe 2020» de l’UE, et notamment de l’initiative phare «Une Union pour l'innovation» qui sera lancée en automne 2010.

Máire Geoghegan-Quinn a déclaré: «Investir dans la recherche et l’innovation est la seule manière intelligente et pérenne de sortir de la crise et de garantir une croissance durable et socialement équitable. Ce financement européen contribuera à la création de produits et services de meilleure qualité, à une Europe plus compétitive et plus respectueuse de l’environnement, ainsi qu'à une société meilleure avec une qualité de vie plus élevée. Nous offrons 6,4 milliards d’euros aux chercheurs et aux innovateurs qui réaliseront des projets de pointe portant sur des grands défis économiques et sociétaux: changement climatique, sécurité énergétique et alimentaire, santé et vieillissement de la population. Il s’agit d’une incitation économique considérable et efficace, et d’un investissement dans notre avenir.»

Le plus grand investissement jamais réalisé
Les personnes intéressées auront la possibilité de solliciter un financement au titre du septième programme-cadre de l’Union européenne dans toute une série de domaines d'action. À titre d’exemple, plus de 600 millions d’euros sont prévus pour le domaine de la santé...

[...]

...800 millions d’euros pour les PME
La première priorité est accordée aux petites et moyennes entreprises (PME), qui sont à la base du système européen de l’innovation et qui représentent 99 % des entreprises européennes. Les PME recevront près de 800 millions d’euros et, pour la première fois, des budgets leur seront réservés dans plusieurs domaines. Ainsi, dans les domaines de la santé, de la bio-économie fondée sur la connaissance, de l’environnement et des nanotechnologies, la participation des PME doit atteindre 35 % de la totalité du budget pour un certain nombre de thèmes.

Nouveaux produits et services
La traduction de la recherche en nouvelles technologies ou en nouveaux produits et services se situe au centre de ce financement sans précédent.

Rien que pour la recherche dans le domaine de la santé, environ 206 millions d’euros (soit un tiers de la totalité du budget pour 2011) seront accordés aux essais cliniques proposés par les chercheurs eux-mêmes en vue de garantir une commercialisation plus rapide des nouveaux médicaments... lire tout le communiqué de presse de la Commission européenne -

lundi 26 avril 2010

Livre blanc de la FEFIS : « Mobiliser nos atouts pour inventer demain ensemble »

FEFIS fédération française des industries de santé29/09/2009 - ...Face au vieillissement de la population, au développement des maladies chroniques, à l’irruption de nouvelles pandémies et à la mondialisation de la santé, l’enjeu pour la FEFIS est clair : accroître la place de la France dans les domaines des sciences du vivant et des industries de santé. C’est dans cette perspective que la FEFIS s’est fixée 6 priorités, organisées autour de 3 pôles d’actions :

- Relever les défis industriels et de santé publique, en affirmant la reconnaissance de la santé comme secteur d’avenir aux niveaux sanitaires, économiques et sociaux, ainsi qu’en promouvant les industries de santé au niveau régional et national ;
- Réunir les conditions de l’innovation, en encourageant et développant les collaborations public/privé, en travaillant avec les pouvoirs publics pour favoriser l’émergence d’un environnement économique et réglementaire lisible, stable et attractif, ainsi qu’en préparant les métiers de demain et en accompagnant les professionnels de santé
-Agir localement avec une ambition internationale, en soutenant les PME et en encourageant les projets et échanges de savoir-faire et d’expertises en santé.
En fixant ces priorités, la FEFIS entend dresser un projet d’avenir fort, autour d’une nouvelle frontière : l’humain et les sciences du vivant... communiqué de presse de la FEFIS - PDF du livre blanc des industries de santé : "Mobiliser nos atouts pour inventer demain ensemble" -

vendredi 9 avril 2010

Bilan annuel des avancées thérapeutiques 2009 des entreprises du Médicament [Leem]

leem les entreprises du médicamentMardi 26 janvier 2010 [source : Leem] - Les maladies pédiatriques au coeur du progrès thérapeutique en 2009 - 42 solutions thérapeutiques nouvelles -
Le bilan des avancées thérapeutiques 2009, établi sur la base des avis rendus par la Commission de la Transparence1 fait apparaître 42 solutions thérapeutiques nouvelles, plus particulièrement dans les domaines des médicaments pédiatriques, de l’infectiologie, de la cancérologie et de l’hématologie. Le nombre de champs thérapeutiques couverts est plus élevé que l’année précédente : 15 contre 8 en 2008.

1. De nombreuses solutions thérapeutiques nouvelles (11) ont été apportées pour les enfants et les adolescents,...

...

2. La mise à disposition de 5 vaccins contre des maladies graves, comme la méningite et l'encéphalite japonaise...

...

3. Le progrès est resté très significatif dans les domaines de la cancérologie et de l'hématologie,...


...

 Leem : Bilan Innovations 2009, avancées par aire thérapeutique- cliquer sur l'image pour l'agrandir [extrait du communiqué de presse du Leem : Bilan Innovations 2009] -
...

Le bilan 2009 du progrès thérapeutique en chiffres :
-> 42 solutions thérapeutiques nouvelles en 2009, contre 31 en 2008, 51 en 2007, 58 en 2006 et 48 en 2005. 23 nouveaux produits apportent une amélioration aux malades dans 24 situations pathologiques différentes.
-> 11 médicaments déjà autorisés ont enrichi leurs indications thérapeutiques améliorant significativement la prise en charge des patients dans 13 situations pathologiques, notamment en cancérologie (3 dont deux pour le cancer colorectal métastatique) et en infectiologie (infections virales, VIH-1 et hépatite B, infections fongiques).
-> 3 vaccins, auparavant de prescription limitée à certaines populations à risque, pourront désormais bénéficier à tous les nourrissons (méningocoque C).
-> 2 médicaments commercialisés ont vu leur ASMR réévaluée à la hausse (traitement de la maladie de Parkinson et de l’hyperactivité vésicale)... lire tout le dossier de presse du Leem - avec les documents PDF à télécharger -

vendredi 5 mars 2010

Création d’ARIIS : Alliance pour la Recherche et l’Innovation des Industries de Santé

Alliance pour la Recherche et l’Innovation des Industries de Santé (ARIIS)01/03/2010 - Face à l’accélération de la compétition dans les sciences de la vie, les industriels de la santé ont décidé de se regrouper dans l’Alliance pour la Recherche et l’Innovation des Industries de Santé (ARIIS), afin de renforcer leur dynamique de recherche et d’innovation.

Forces d’impulsion des sociétés modernes, la recherche et l’innovation sont un enjeu stratégique de la compétition internationale et notamment dans le domaine des sciences du vivant et de la santé. Conscient de l’importance des défis à relever (maladies cardiovasculaires, cancers, maladie d’Alzheimer, maladies infectieuses…), le Leem Recherche a annoncé, le 26 février dernier, à l’occasion de son assemblée générale, son évolution en une alliance, fédérant toutes les industries de santé, qu’elles se consacrent au médicament, aux dispositifs médicaux, au diagnostic, aux technologies de santé…
Cette nouvelle alliance, ARIIS, construite en miroir d’AVIESAN, l’Alliance nationale pour les sciences de la vie et la santé, qui regroupe les principales institutions de recherche académique, a pour principaux objectifs de :
- de fédérer largement les industries de santé et en conséquence, refléter la diversité de la filière Santé : diversité des acteurs (PME, groupes internationaux, biotech, start-up…), mais aussi des champs de recherche (amont et translationnelle, clinique, épidémiologique, industrielle…)
- de développer les partenariats public/privé. L’innovation en santé se nourrit largement des collaborations entre industriels et laboratoires de recherche tant publics que privés. En s’appuyant sur un conseil scientifique paritaire, ARIIS vise à favoriser des espaces d’échanges entre ces différents acteurs et à multiplier les partenariats.
- d’offrir plus de lisibilité aux partenaires. Comme le préconisait le Conseil Stratégique des Industries de Santé (CSIS) du 26 octobre dernier, ARIIS souhaite se positionner comme un interlocuteur privilégié d’AVIESAN
- d’élargir à partir de l’existant, le Leem Recherche et la FEFIS (Fédération Française des Industries de Santé), structures conçues pour faciliter les partenariats de recherche. Le comité scientifique du Leem Recherche, fonctionnant comme une plate-forme partenariale d’échanges, en est un des exemples les plus aboutis.

C’est à une visibilité et à une efficacité renforcées que tend cette nouvelle alliance... lire tout le communiqué du Leem -