- 21,5% des sociétés présentes étaient issues d’autres pays que l’Espagne
- Les participants ont assisté à près de 2200 réunions de travail
- ASEBIO et SODENA sont parvenus à faire de cette rencontre un événement international
MADRID -L'Association espagnole des entreprises biotechnologiques (ASEBIO) et la Société de Développement de Navarre (Sodena), sous l’égide du Gouvernement de Navarre, ont organisé BioSpain 2010 à Pampelune du 29 septembre au 1er octobre, où ils ont accueilli plus de 1400 participants.
«Il est nécessaire de disposer d’une bonne politique en matière de protection des brevets»
Dans le cadre de cet événement, quelque 2200 réunions de travail ont eu lieu via le système de partenariat entre les 700 sociétés présentes, dont 21,5% venaient d’autres pays que l’Espagne. Ce pourcentage correspond aux 150 sociétés et établissements étrangers qui ont décidé de se rendre en Espagne à la recherche de nouvelles opportunités commerciales dans le secteur des biotechnologies. Il s’agit là d’une augmentation de 55% du nombre de participants par rapport à BioSpain 2008. BioSpain devient ainsi le plus important événement dans le domaine de la biotechnologie jamais organisé en Europe méridionale. Parmi les parrains officiels, on trouve des entreprises importantes comme Merck, Zeltia, AB BIOTICS, Genetrix, Genoma España, Caja Navarra et l'Institut Espagnol du Commerce Extérieur (ICEX).
Cette année, BioSpain 2010 comptait 132 stands, soit une hausse de 15% par rapport à la précédente édition. Ces stands étaient occupés par 160 sociétés, dont 24% venaient de l’étranger (38), ce qui souligne la spécificité la plus importante de l’événement : son caractère international. Les principaux pays représentés, selon le nombre de participants, étaient : la France (28 sociétés), le Royaume-Uni (16), les États-Unis (16), l’Allemagne (12), le Canada (6), l’Italie (6), Israël (9), le Portugal (8), la Suisse (4), la Belgique (4), le Danemark (3), et le Mexique (3)... lire tout le communiqué de presse BioSpain - Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence -